Mercredi 27 mai 2009 à 0:04



http://heart.of.st0ne.cowblog.fr/images/imgdelete.pngAvoir envie de boire pas pour oublier mais pour ne pas être comme ça. Que tout passe sans m'atteindre. Tant pis pour la lumière en bas quand j'suis ici et que je reste les yeux rivés à mon écran. J'ai pas de larmes.. J'sais pas pleurer. Plus pleurer. Pas là en tout cas.
vie d'merde. Conne que je suis. Je ne Te retiens pas et Tu ne reviens pas. Saez augmente mes idées noires. Qu'importe. Y'a plus rien qui peut m'atteindre ce soir. J'ai envie d'boire. Ne pas être là. C'est d'un con la vie. Les prises de têtes. Je suis bonne qu'a ça et je ne Te retiens pas. Je Te fais chialer. Tu vois ça recommence. Les disputes pour un oui pour un non. La vie va nous tuer à force de  nous user comme ça. à force de se cogner comme ça. Finit l'temps des sourires inconscient. C'est toujours là finalement. ça n'attend que ça d'exploser. Tant pis pour Toi et tant pis pour moi. Tu ne reviens pas et je fixe mon écran pour écrire des mots idiots qui ne me soulageront pas. Témoins de merde pour un soir de merde. Parce que j'etouffe. Parce que je  ne change pas. Parce que T'es partie. Parce que je n'en vaut pas la peine. Ouvres les yeux sur le mal que je Te fais.  Tu l'admettras jamais. On va me dire que ce n'est rien. Tu parles. Faut le vivre pour le comprendre. Vous pouvez pas. C'est ainsi. J'ai envie de boire. Ouais. Tant pis pour moi.



Les jours passent et finalement je vais toujours nulle part.
Incapable du meilleur .. Juste bonne  à ça .. Les mauvais mots qui Te blessent et font que Tu T'en vas.
J'me dégoûte.

Lundi 25 mai 2009 à 21:46

http://heart.of.st0ne.cowblog.fr/images/anciennes/flamev2.jpg

.Retenir sa respiration quand l'eau glacée percute un corps nu de plein fouet.

Un Nouveau jour se meurt. La nuit entame son approche. Il fait toujours aussi chaud et l'ordi me brûle le ventre. Des partiels ce matin, deux; Statistique et histoire de la sociologie. Simple. Je crois. On s'en fout. J'ai quitté les salle très vite et je suis presque arrivée en retard. Mon frère va travailler au même endroit que nous cet été.  Sinon rien.

.Les yeux tristes d'avoir lu des mots.

Ils étaient enfermés dans une boite depuis un an voir deux je ne sais plus vraiment et je confond les dates. Des mots d'amour non réciproque. Dites moi on peut tout gâcher quand on aime pas mais dites moi pourquoi? J'ai l'impression de trop vouloir les choses qui m'échappent. Je m'accroche à des personnes qui ne veulent pas de moi. Ou que de temps en temps. Il leur suffit d'un signe pour que je revienne. Je ne suis pas une marionnette. Aidez moi à l'écrire sur mon front.

De grandes enveloppes marron à la fin et les premières lettres rapides du début.

On a relu Ses mots, ceux qu'Elle m'écrivait quand Elle était loin. Ceux que j'attendais. Le papier que je respirais, les bouts de tissus sur mon oreiller. Pour qu'Elle soit toujours là. On apprennait à être quelqu'un. On trouvait ça bizarre et irésistible. C'est une force qui nous ait tombé dessus et qu'on a accepté avec parfois quelques mal. Je me souviens de tout. Des mauvais moments comme des bons. Du téléphone. Du quai de la gare. Aujourd'hui en regardant des photos d'Elle quand j'attendais que mon partiel commence j'ai sentit une drôle de sensation en moi. Une belle sensation de paix.

Crier. sans se retenir. Avoir l'espoir d'y croire encore. Même si c'est mort. Même si je me mens car je me cache des pièges. Ils arriveront bien assez vite. Je regarde l'horizon mais pas ce qu'il y a juste devant moi. Pas besoin de pleurer d'avance sur ce qui va me faire du mal.

De la mélancolie dans le coeur mais .. mais .. je bascule ... Dans un état second. être bien mais sentir que quelque chose se brouille. C'est peut être de ne pas comprendre vraiment. Je vis. J'aime mais il y a toujours des mais .. Des questions perdues parce qu'elle ne trouvent pas de réponses avec qui s'accorder .. J'ai peur du flou .. Cet été je l'attends l'après me donne envie d'partir en courant...



 

Lundi 25 mai 2009 à 2:33

Parce qu'il y des mots qui vous tiennent éveillé. Il y a des mots qui vous prennent le coeur. Ils vous l'empoignent. C'est comme ça. Et ça vous fait mal de bonheur.  Alors vous tremblez, vous avez peur, vous pleurez, de joie et de peur. Vous ne savez pas, vous ne croyez pas. Et pourtant ces mots sont bien là. Ils m'apaisent, me font trembler. Je les savais, je les avais deviner. Mais tant qu'on ne les lit pas, alors on ne croit pas. J'en ai tremblé, j'en ai pleuré de peur et de joie....
Et je suis apaisée. Tellement apaisée. Si vous saviez.Mais tellement remplie de peur.
C'etait écrit. Oui c'était écrit, c'est MON instinct, c'est MA vie qui voulait ça.
Alors je vous interdit à vous qui ne savez rien de me dire que je suis folle, que je sais rien, que je divague.plus jamais vous n'aurez ce droit, ce pouvoir.


on ne souhaite jamais des chose faciles. On souhaite des choses énormes des choses ambitieuses
hors de portées on souhaite parce qu'on a besoin d'aide. Qu'on est effrayé on sait qu'on demande peut être trop mais on y croit tellement, on sait que la vie nous le doit, on sait qu'on le mérite. On demande trop mais  parfois elles se réalisent...


L'amour c'est compliqué... Disons que l'on dit des choses que l'on pense, parce qu'on ne voit jamais demain arriver, parce qu'on est persuadé d'être les plus beaux, que rien ne peut nous enlever celui qu'on aime. On sait ce qu'on est. On sait l'autre. On s'appartient alors on fait les promesses... Les mots qu'on dira en l'air plus tard. Mais c'était des vrais mots, des mots pensées, mais qui malgré tout nos efforts n'ont pas tenus...
Ces choses là ça ne se prévoit pas... Je pourrais te retourner cette question... Pourquoi même si ça t'as fais mal tu es parti?! Parce que dans la vie quand on aime et qu'on est malheureux.Qu'on voit qu'on aime pas bien l'autre, qu'on l'aime pas assez comme il se devrait et bien on s'en va...Quand on voit qu'on aime pas bien l'autre, qu'on l'aime pas assez comme il se devrait
et bien on s'en va... 
Toi tu es parti, je t'ai pas vu partir... j'ai eu mal, je me suis dis mais pourquoi quand on est heureux, qu'on peut devenir magnifique, qu'on en a les moyens on s'en va? Maintenant je sais.

Quelques mots qui trainait dans ma tête...


Dimanche 24 mai 2009 à 11:12

http://heart.of.st0ne.cowblog.fr/images/anciennes/uronf735-copie-1.jpg


Pour rompre la peur elle écrit sur les murs, pour graver une dernière fois qu'elle n'est pas folle elle laisse sa trace sur les murs.
Elle reste en retrait après ça, juste en face du mur qu'elle aura choisit ce soir là. Elle ne compte pas conquérir la ville, c'est juste qu'elle oublie la place de son mur, ou peut être que c'est le même. Peut être qu'à trop le regarder elle a finit par effacer elle même les mots. Alors elle revient, elle recommence à écrire. S'arrachant un peu plus le coeur. Elle pourrait même dessiner les bouclettes qu'elle avait dans les cheveux, dans les yeux le matin en se réveillant. Elle jouait à la surprendre endormie, comme un bébé, le souffle calme, la bouche entrouverte. Des images sur papier glacé, des images dans la mémoire. Des souvenir à l'imparfait. Jetés aux pâtures du temps. Elle veut les écraser mais il faudrait avoir de la force. Elle parle sur le mur pour tromper les autres. Elle parle mais ce sont toujours ces mêmes mots. Au fond qu'est ce qu'elle pourrait dire d'autre. On ne raconte pas quand tout s'enfuit. Si tu racontes t'as l'impression de t'être trompé, que cette histoire n'est pas la tienne. Que c'était celle d'un roman dont  t'as oublié le nom et dont du n'as vraiment pas aimé la fin. Elle tremble un peu. La craie se casse. Le mur lui trace ses propres mots sur le peau. Sous forme d'éraflures et au final de cicatrices. Ses mains en pleureraient presque, rouge sang qui coule par petite goutte, trop petite pour être prise au sérieux. La pluie lave les mots, dans un manège sans fin elle essaye de les garder en vie. Un peu comme un dernier lien, une dernière force.



"Comment faire quand une femme oublie de dire qu'elle vous aime"



Samedi 23 mai 2009 à 20:28

http://heart.of.st0ne.cowblog.fr/images/anciennes/DSC0089copie.jpg
Il y a tellement de mots qui souhaiteraient sortir. Il y a tellement de sentiments qui restent coincés dans la gorge. Tellement de larmes qui n'osent pas être coulées. Tellement de pensées cinglantes. Tellement de faut sourires...
Tu devines mon histoire, je devine tes ressentis.
J'ai une boule au coeur, j'ai un vide inconsidéré en moi. Tel un abysse, il ne cessera donc pas de se propager en moi ?
Qui peut comprendre ce sentiment ? Qui peut comprendre cette histoire ?
Même moi je m'y perd. Je n'ose plus y croire.
Une partie de moi s'est éteint.
Tes mots ont leur importance.
Toute chose à lieu d'être.
Toute parole mérite d'être entendue.
Tout pleur mérite des bras.
Et... Je me sens seule.

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