Tellement.Seule : Ca lui ferait plaisir... Faute avoué a moitié pardonné? C'est ce qu'on dit non..
Edith-Moi : Merci de ton commentaire. Oui, ça reste un lien..
Wind.in.my.hair : dix fraises et du lait dans le mixeur et c'est partiii! xD
Wind.in.my.hair : Merci bien :) J'me vois pas avec une autre couleur de cheveux, ça fait trop longtemps que j'oscille entre le roux/rouge xD Puis ta prochaine mousse sera meilleure °D Moi je viens de me faire un milkshake fraise, tout con,
Edith-Moi : Merci de ton commentaire, oui comme si la mort rendait interessant, mais oui. Les médias en font tout un truc, et ça explose, bien. En gros, ça rapporte le décès d'un artiste. ;) En passant, jolie blog !
Wind.in.my.hair : Wi enfin j'me suis arrêté au début de la dernière saison (ça date, c'était l'été d'il y a deux ans!) J'aimais beaucoup :)
Un jour ce sera la liberté. Pas celle où tout est permis mais celle où je/on/il/nous/vous/elle/elles/ils/ vivent et choisissent. Pas les choix qu'on choisis pas non les choix qu'on fait de tout notre coeur. Du plus profond de nous. Quand on se lève/quand on allait s'endormir/ quand on allait travailler/ n'importe quand y'a un déclic un quelque chose qui dit mais bordel c'est pas ça la vie. Elle est floue mais autant la rendre un peu moins. Fonce, casses toi la tête par terra tu ne regretteras pas tu verras. Un jour la liberté elle est là autour de toi. Ce sera peut être juste pas un petit rien mais ce sera toujours quelque chose pour combattre la routine. Faire sa vie dans le bon sens. Ouais ce matin c'est de la bonne humeur. C'est con vu tout les autres jours mais qu'importe. Encore 5 jours vous savez. Après ce sera comme si on l'était libre. Sans le net. Sans la ville. Sans les habitudes. On en aura d'autres on vivre à 100% parce qu'il n'y aura rien pour faire semblant. Il n'y aura pas d'écran d'ordinateur pour capter notre attention e nous transformer en loque. Je veux voir la vie. Je veux voir comment c'est de vivre comme ça. On sera dans une tente pour deux mois. Deux mois comme si c'était le début de quelque chose. Je ne veux pas penser au retour. Il sera là bien assez vite.
Lettre à maman. Tu te souviens de ma lettre? Tu sais celle de terminale ouais, celle que tu m'a reproché. Celle qui aurait pu nous ouvrir. Peut être que tu l'as jeté finalement. Peut être pas. J'avoue que je ne comprends pas. Et là y a des mots qui m'ont rappelé ça. Tu aimes écrire je le sais. Tu écris tous les jours pour décrire la journée passée. Alors pourquoi quand tu m'écris y'a pas plus que les enveloppes de nos vies. J'aimerai partager d'autre chose. Mais comme je ne sais pas si j'en ai le droit je me tais. Je te téléphone, je viens te voir. Y' a un truc j'le sens bien. Quand on se parle au téléphone c'est souvent plus de trente minutes. Mais j'aimerai juste un je t'aime. Tu vois quand j'lis que Marie l'dit à sa mère et qu'elle aussi. Je me demande pourquoi entre nous y'a des silences. Tu vois Marie a donné ses mots à sa maman et sa maman à fait pareille. Elles se sont échangés des poèmes. Je ne dis pas qu'il faut faire pareil. Juste essayer de pas se laisser passer. J'ai l'impression qu'on se connait pas assez. Je suis pétrifiée à l'idée que tu me connaisse. Je ressemble plus à ma soeur que ce que tu peux penser. Et je pense pas que ça te plaise. je ne le comprends pas d'ailleurs. Tu n'aimes pas savoir qu'on aime voyager et pourtant avec papa vous avez passé une grande partie de votre jeunesse sur les routes de France, à vélo et en moto. Papa en garde des traces toi on dirait que t'as oublié. Qu'est ce qu'il se passe dans ta tête. Quand on vivait sous le même toit j'ai parfois eu l'impression que tu ne m'aimais pas. Tu penses qu'il faut être ça ou ça pour que tu puisse aimer? Je sais pas si c'est qu'un impression mais quand on dévie de tes valeurs ça va plus. Enfin t'en viendrai pas à la haine mais sur le coup ça te fais quelque chose et tu dis des choses qui blesses. Mais au fond c'est normal. J'avoue que je m'enmèle un peu. Pas mal. J'ai beau avoir changé. J'ai beau avoir grossis par rapport à lan passé, j'mangeais vraiment rien quand j'y pense. Tu devais avoir peur de moi. J'ai beau mettre des couleurs partout. J'reste quand même un peu pareille. Pas tout à fait bien sur mais quand même. J'avais déjà un rêve mais je ne t'en ai jamais parlé. J'avais déjà ce point de vue sur le monde. Mais je ne t'en ai jamais parlé. J'ai peur que tu crois m'avoir mal faite. j'ai peur que tu crois que si je vais mieux c'est parce que je ne suis plus là. C'est faux tu sais. J'ai dans le coeur et dans la tête une impression et j'ai eu besoin de cette distance pour me rendre vraiment compte ce que tu représentes pour moi. Lui aussi d'aillieurs. Quand on vivait ensemble il y avait trop de tensions à cause de ces silences. J'allais pas bien aussi faut dire. Vous me voyez que le soir pour manger. Je partais vite de table. je laissais pas d'place à la disscussion. Je sais mes fautes maman.... Mais je ne t'avouerai jamais tout ça. Je ne peux plus donner de lettre de ce genre.. J'ai l'impression que ça gâche plus les choses que ça ne les arrange. Parce qu'il y a eu cette première lettre puis une autre, même pas pour toi. Mais elles ont le point communs que je me suis prise une bonne claque en pleine tête juste après... J'voulais être sincère .. raconter ma vie et faire comprendre ce que je ressentais .. a défaut de pouvoir te le dire .. tu n'as pas su me lire.. mais au fond je peux même pas t'en vouloir. Y'a un lien unique .. Je peux pas faire autrement.
Mon estomac ne va pas être content. 500 grammes de cerises et deux barquettes de fraises en deux jours.
C'est tellement bon. [Je sais bien que ça sert à rien de faire un article pour dire ça]