- Relever la tête . . . Parce qu'il existe toujours un plan B . . . Une presque solution . . . Une peut être fuite -
Mardi 18 janvier 2011 à 18:02
- Relever la tête . . . Parce qu'il existe toujours un plan B . . . Une presque solution . . . Une peut être fuite -
Mercredi 10 mars 2010 à 18:19
J'ai des envies de fuite de temps. Des envie de début juin ou juillet pour être là bas. Même si je sais même pas quel nom lui donner. Même si je ne sais même pas comment le dessiner dans ma tête. Je l'imagine beau. Il ne peut être que beau. J'ai des envies d'oubli du présent et de la décision que je dois prendre. J'ai jamais aimé les choix mais là je suis bien forcé. J'ai pas le choix de ne pas choisir. J'ai pas le choix de ne pas assumer. C'est un premier pas pour me libérer en fait. Jouer un rôle ça va un temps mais a force ça use. Alros a vous qui ne savez pas de quoi je parle je peux le dire. Vous seriez en vrai vous me regarderiez avec de grand yeux et vous essayerez de me montrer que c'est con. Tant pis. Et vous ne penseriez pas tous ça. Les pour de vrai eux si. Tous. On a été éduqué comme ça après tout.
Dimanche 20 septembre 2009 à 12:32
Allons marchons droit devant ... espérons encore plus fort ... Je ne veux pas trembler ... Même si je sais que ça va se faire .. Je dois passer par certaines étapes ..
Relever la tête et faire semblant d'avoir confiance en moi....
sourions la vie passe trop vite ...
Lundi 1er juin 2009 à 23:33
.Une silhouette qui s'en va la page se tourne il faut installer les premières lettres. Les nouvelles lettres. Celles qui prendront place sur le passé.
La route se dessine sous ses yeux, elle a l'air un peu perdue, pourtant elle sourit. Le passé à laissé des traces en forme d'un petit quelque chose dans ses yeux. A force de regarder les étoiles ça s'en ira. Le feu détruit tout. Elle se dit qu'au fond ça ne lui fait plus aussi mal. L'eau a coulé et lui a arraché ses doutes et ses peur. Quand la route à commencé elle marchait lentement, très lentement, parfois plus du tout. Elle a du prendre des poses. Penser à des choses qui la rendaient fragiles. La vie qu'est pas toujours comme on le veut. Et puis il y avait des choses qu'elle ne pouvait pas comprendre. Elle avait envie de changer l'impossible, quand elle a commencé à s'en détourner elle a pu voir comme c'était beau de respirer. Tant pis pour ceux qui n'ont pas comprit. Tant pis mais pas tant mieux. Au fond ce sera un petit bout d'elle qui sera toujours là. Mais il aurait fallut devenir un zombie pour leur plaire et ce n'est pas possible. On ne peut pas devenir mort vivant quand l'espoir nous bouffe et nous consume. Elle l'a comprit un peu tard mais elle l'a comprit. Ce n'était plus une question de rêve d'ado inaccessible. C'était devenu l'unique chose qui pouvait changer et donner des coups de poings dans la routine. C'est ça qui la bouffait, faire tous les jours les mêmes gestes. dans un décors dont ses yeux connaissaient la moindre fissure. Les mêmes bruits du soir au matin. Des répétition mais le grand final tardait à pointé son nez. Elle a dû être patiente. Elle a pleuré, elle s'est sentie sale et nulle. Perdue au milieu de la masse. Elle aimait sortir mais pas pour s'enfermer dans une boite. Elle avait peur de ne pas être à la hauteur mais ça n'a plus d'importance. Elle efface d'un geste comme pour gommer l'air de son soupir. Elle regarde la route qui se dessine sous ses yeux. Elle a l'impression de partir en vacances. Mais ce n'est pas le cas. Elle s'en va commencer à vivre voilà tout. Alors peut être qu'elle va se casser la tête la première. Peut être qu'elle va regretter. Mais les remords l'auraient bouffés ou peut être pas, la routine est tellement plus puissante. A cause d'elle on oublie de rêver. On oublie de vivre. On se coince dans un système de croyance qui nous échappe totalement parce qu'il n'est
Parce qu'il va falloir que je continu de courir après l'espoir qui me fuit. Même si la vie est incertaine.
Vendredi 29 mai 2009 à 13:11
On ira dormir parce que se réveiller n'est pas bon pour les neurones. Et les idées noires doivent se faire chasser. Quoi de mieux que le noir des paupières pour les étouffer. Faire en sorte qu'elles ne sortent pas. Qu'elles ne troublent pas un regard. Le flou du rêve revient encore et encore. Au fond il faut y croire. Je ne sais plus ce que représente l'année que je viens de passer. Sur le plan scolaire seulement. Au fond ça ne représente pas grand chose et puis j'ai mieux réussit que ce que j'imaginais alors je pourrais en tirer une certaine fierté. Mais ce n'est pas le cas. Je suis aliéné. (et il faut que je me sorte ce mot de la tête il revient pour la deuxième fois). Les cours ne sont pas fait pour moi il faut croire. Mon bonheur n'arrive pas à se construire grâce à eux. D'un côté tant mieux. Dans quelques jours ou heures je ne sais pas je vais recevoir le bulletin définitif. Je vous dirai ou non ce qu'il en est. Pour le moment c'est les vacances. Pour le moment je part bientôt chez mes parents. Ce soir exactement. Avec La petite copine et les n'animaux. Samedi on mangera des cerises jusqu'à ce que mon estomac explose. Je t'emmènerai Petite et on partira parce que plus on sera lin plus ce sera facile d'oublier. Parce que votre système ne me correspond vraiment pas. Tant pis pour les notes que je viens de lire. Elles ne représentent rien. Parce que je ne sais pas où je vais. Mais je sais que je ne vais pas dans leur sens. J'ai essayé j'ai échoué. Pas totalement mais quand même. Mais je m'en fous. Enfin non j'aurai préféré me planter encore plus. Que maman n'est plus l'espoir que moi au moins je vais continuer dans une voie comme celle-ci. Vous allez me dire que je ne dois pas vivre en fonction d'elle et je le sais mais que voulez vous j'ai pas envie de lui faire du mal. C'est pas pour la réussite qu'elle veut ça juste pur être rassurée que je serai bien. Mais je devrai lui dire que ce n'est pas ça mon bonheur. Aurai je la force de le construrie ce bonheur. Je ne sais pas. Les humeurs et les jours changent mon point de vue. Il faut dire que oui. Si je dis non je tue l'espoir et je ne veux pas lui faire de mal. Je continuerai donc dans la voie que maman souhaite. En espérant un jour être prête. Il me faut un signe. Je crois. Les notes des autres examens ne sont pas encore arrivés. Peut être qu'elles au moins m'enterreront complètement. Affaire à suivre. Je ne sais pas ce que je veux. Enfin si mais c'est brouillé par ce que les autres veulent. Tant pis. Les jours passent. C'est les vacances. Ne penser à rien. On ira dormir sous les étoiles. j'éblouirais mes yeux de leurs lumières et ils seront bien obligés de briller.
La vie sera celle que je vais construire et puis Lilie l'a dit à deux on est plus fort. Dans notre histoire on sera deux voir plus encore. Alors on sera encore plus fort hein. oui. Le non est interdit. Si le oui meurt et que le non gagne l'espoir est fichu.